Présentation de l’activité
Le secteur élevage canin/félin de l’Unité de Médecine de l’Elevage et du Sport (UMES) a pour but de former et informer les éleveurs et leurs vétérinaires, d’aider à la prévention ou au traitement de pathologies d’élevage en appui du vétérinaire traitant.
Il peut s’agir de mortalité néonatale, d’infertilité, de diarrhée de sevrage, de parasitisme important, de toute maladie infectieuse telle que la parvovirose ou la toux de chenil…
Ce secteur apporte des solutions en matière de prévention médicale (plans de vaccination et vermifugation) et sanitaire (conception des locaux, plan de nettoyage/désinfection) dans les collectivités de chiens et de chats et travaille en partenariat avec le CERCA dans les problèmes directement liés à la reproduction.
L’équipe est aussi disponible pour toute question ou conseil liés à la législation relative à l’élevage, à la conception de bâtiments ou aux plans de préventions.
Enfin, des formations sont organisées pour les éleveurs et les vétérinaires dans le domaine de l’élevage au sein de l’ENVA ou en collaboration avec d’autres organismes.
Informations pratiques spécifiques
Que devez-vous apporter pour la consultation ?
Les vétérinaires se déplacent dans les élevages pour réaliser des visites. Il est nécessaire de préparer les documents d’élevage ainsi que les résultats de toute analyse antérieure. La présence du vétérinaire traitant est souhaitée.
Votre élevage :
Avant chaque visite d’élevage, un questionnaire comportant des questions relatives au fonctionnement de la structure est envoyé. Ce questionnaire permet une première approche et est à remplir précisément et à nous renvoyer avant la visite.
Des précautions sanitaires sont prises lors de chaque visite : surbottes ou même combinaisons.
Les consultants
Dr Artem ROGALEV
Dr Delphine CLERO
Les examens spécifiques
Selon le problème rencontré, des prélèvements peuvent être réalisés sur les animaux de l’élevage lors de la visite : prélèvements de selles, de sang, écouvillons, …
Une hospitalisation de certains animaux peut être envisagée à terme afin de réaliser des prélèvements plus invasifs au sein de l’EnvA